La Fabrique de l'Industrie
Menée par Louis Gallois, président exécutif du groupe EADS, La Fabrique de l'Industrie a pour objectif de former une entité de réflexion indépendante afin de travailler sur des problématiques économiques et sociétales de manière ouverte. Touchant à toutes les disciplines, la réflexion autour de l’industrie et le travail en profondeur sur la construction d'une industrie pérenne se feront à une échelle européenne et mondiale. Et pour se faire, le think tank s'est doté d'un budget à la mesure de ses ambitions, ainsi que d'un site web (la-fabrique.fr), le tout, piloté par un professeur à Mines Paris Tech, Thierry Weil. Le conseil d'orientation se compose lui, de grandes entreprises, mais aussi d'entreprises de taille intermédiaires, ainsi que d'experts venant de grandes écoles, et de syndicalistes. Le think tank se veut donc expansif, et le programme s'annonce chargé.
Au programme du think tank
Dès 2012, la Fabrique de l'Industrie lancera des manifestations publiques, des conférences et débats, qui auront lieux à des intervalles réguliers. Le programme des conférences sera ajusté selon cinq axes de travail, à savoir : établir un diagnostic partagé, impliquer les pouvoirs publics, associer les parties prenantes, développer les talents, et préparer l'avenir en tenant compte des enjeux de l’innovation. À la clé, une vue d'ensemble sur les problématiques des entreprises industrielles, une rénovation de la politique des pouvoirs publics en matière d'industrie, et une meilleure prédiction de l'avenir du secteur et de sa main d'œuvre. Encore au stade d'exploration, certains axes de réflexions devraient prochainement être mis en avant, comme l'étude du secteur agroalimentaire, l'amélioration du dialogue social, l'analyse des industries de certains pays, ou encore la situation des apprentis en France. Ainsi, ce ne sont pas les objectifs qui manquent, et le président du think tank bien qu'un peu idéaliste dans ce projet reste lucide.
Objectifs du président du think tank
Récemment interviewé, Mr Gallois affirmait que son objectif était autant de changer le regard sur l'industrie que de changer l'industrie elle-même. Mais lorsque l'on parle du regard sur l'industrie, le changement doit être à l'initiative d’une prise en main de tous les industriels. Il y a donc une sensibilisation à faire auprès de ces derniers, pour que tout le secteur de l'industrie soit pérenne. Il est nécessaire d’instaurer des conditions qui poussent tous les industriels à la réflexion ouverte. En effet, c'est dans la solidarité des parties prenantes que ce think tank trouvera son efficacité, et c'est donc sur le principe d'ouverture que chacun y trouvera son compte. En effet, la voix portée devant les pouvoirs publics sera d'autant plus retentissante, et il ne faut pas oublier que l'implication de ces derniers est une condition clé d'une industrie durable.
Menée par Louis Gallois, président exécutif du groupe EADS, La Fabrique de l'Industrie a pour objectif de former une entité de réflexion indépendante afin de travailler sur des problématiques économiques et sociétales de manière ouverte. Touchant à toutes les disciplines, la réflexion autour de l’industrie et le travail en profondeur sur la construction d'une industrie pérenne se feront à une échelle européenne et mondiale. Et pour se faire, le think tank s'est doté d'un budget à la mesure de ses ambitions, ainsi que d'un site web (la-fabrique.fr), le tout, piloté par un professeur à Mines Paris Tech, Thierry Weil. Le conseil d'orientation se compose lui, de grandes entreprises, mais aussi d'entreprises de taille intermédiaires, ainsi que d'experts venant de grandes écoles, et de syndicalistes. Le think tank se veut donc expansif, et le programme s'annonce chargé.
Au programme du think tank
Dès 2012, la Fabrique de l'Industrie lancera des manifestations publiques, des conférences et débats, qui auront lieux à des intervalles réguliers. Le programme des conférences sera ajusté selon cinq axes de travail, à savoir : établir un diagnostic partagé, impliquer les pouvoirs publics, associer les parties prenantes, développer les talents, et préparer l'avenir en tenant compte des enjeux de l’innovation. À la clé, une vue d'ensemble sur les problématiques des entreprises industrielles, une rénovation de la politique des pouvoirs publics en matière d'industrie, et une meilleure prédiction de l'avenir du secteur et de sa main d'œuvre. Encore au stade d'exploration, certains axes de réflexions devraient prochainement être mis en avant, comme l'étude du secteur agroalimentaire, l'amélioration du dialogue social, l'analyse des industries de certains pays, ou encore la situation des apprentis en France. Ainsi, ce ne sont pas les objectifs qui manquent, et le président du think tank bien qu'un peu idéaliste dans ce projet reste lucide.
Objectifs du président du think tank
Récemment interviewé, Mr Gallois affirmait que son objectif était autant de changer le regard sur l'industrie que de changer l'industrie elle-même. Mais lorsque l'on parle du regard sur l'industrie, le changement doit être à l'initiative d’une prise en main de tous les industriels. Il y a donc une sensibilisation à faire auprès de ces derniers, pour que tout le secteur de l'industrie soit pérenne. Il est nécessaire d’instaurer des conditions qui poussent tous les industriels à la réflexion ouverte. En effet, c'est dans la solidarité des parties prenantes que ce think tank trouvera son efficacité, et c'est donc sur le principe d'ouverture que chacun y trouvera son compte. En effet, la voix portée devant les pouvoirs publics sera d'autant plus retentissante, et il ne faut pas oublier que l'implication de ces derniers est une condition clé d'une industrie durable.
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